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Photo du rédacteurJulie Guinony

Scène de la vie (re)confidienne - #58

Le premier confinement, avec une mise à l'arrêt total de toutes les activités, avait généré calme et tranquillité. La nature avait repris ses droits : les oiseaux avaient refait leur nid sur les plages, des canards s'étaient baladés clopin-clopant dans Paris, les sangliers étaient venus gratter dans la terre aux abords des lotissements en zone périurbaine.


Si le deuxième confinement n'a pas le même impact sur la nature, avec moins d'un salarié en télétravail sur deux et des déplacements autorisés pour des motifs nombreux, il semblerait tout de même que des phénomènes étonnants soient observés.


Comme ces créatures d'origine non déterminée, aperçues ce soir dans la campagne toulousaine au cours d'une balade de moins d'une heure à moins d'un kilomètre de chez soi. Hyènes ou lapins géants ? Averti, le CNRS travaille sur le sujet et se demande si le réchauffement climatique n'expliquerait pas la migration - ou la mutation - de ces drôles d'animaux sur nos territoires. Il est vrai qu'aujourd'hui à Toulouse, la température était de 18° alors que nous arrivons au milieu du mois de novembre. De quoi donner un os à ronger aux collapsologues.





(c) Quovidis / JA

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